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Oui, je l’avoue sans peine, je ne suis pas du genre à suivre les mises en place proposées pas les auteurs. Faire un playmat juste pour poser des cartes m’échappe complètement. Et comble de l’horreur, je ne supporte pas quand la piste de points tourne autour du plateau de jeu.
Agnès est une délicieuse camarade.
Ses découpes sont précises, ses soudures superbes… Agnès ne compte pas son temps car tout doit être parfait et son travail est magnifique.
“Agnès est aussi la co-fondatrice de la société Terre & Peau, une marque de cosmétiques naturels qu’elle fabrique elle-même avec passion → ICI”
On en parle
Oui, je l’avoue sans peine, je ne suis pas du genre à suivre les mises en place proposées pas les auteurs. Faire un playmat juste pour poser des cartes m’échappe complètement.
Et comble de l’horreur, je ne supporte pas quand la piste de points tourne autour du plateau de jeu.
Suis-je seule ? Je gage que nombre d’entre-vous sont comme moi. Pas assez puriste ? C’est bien possible et je n’empêche personne de penser autrement.
Mais je suis certaine que nous pouvons nous retrouver sur quelques points :
• Notre table ultra-polyvalente est au milieu de notre cuisine/salle à manger/salon/atelier vitrail. Combien d’entre-nous ne disposent pas de toute la place rêvée ?
Une fois sur deux il n’est même pas possible de suivre la mise en place indiquées dans les règles. Alors ? Qu’est ce qu’on fait ? On se résigne ou on s’adapte ?
• Que de cartons inutiles !!!!
Pourquoi ? Pourquoi ? Mais POURQUOI rajouter des plaques toutes plus grandes les unes que les autres, qui ne sont destinées qu’à éparpiller tout autour du plateau principal des tas de cartes ou de trucs qui ne demandent qu’à se barrer à chaque manipulation des joueurs !
Alors oui, parfois ça s’la pète, mais est-ce vraiment utile lorsque ce n’est même pas conçu pour des cartes avec sleeves ou que lorsqu’une fois monté, la boîte du jeu ne ferme plus ?
• Certes, il y a parfois de bonnes idées d’éditeur !
Qu’est ce que cela fait du bien quand ça arrive… Mais qui d’entre-vous prennent la décision de retirer l’accessoire de son jeu d’origine pour l’utiliser avec d’autres jeux ? Personne. Pour peu que le jeu soit bof, le super accessoire bien pensé terminera sa vie avec le reste de la boîte… sur Okazéo.
• Le plus agaçant : une multitude de pions en carton, tellement petits qu’il faut s’armer de patience pour arriver à les chopper. Alors certes, ils sont personnalisés, mais avouez que vous aussi avez parfois succombé à la tentation de les remplacer par des petits cubes de couleurs, bien plus pratiques à manipuler.
Mon rêve : qu’un éditeur conçoive une boîte de base bien rangée et à prix correct avec des compteurs de points, des pions, des dés, etc… Cette boîte « générique » serait utilisable pour tous les jeux de l’éditeur et pourrait s’enrichir de nouveau jetons si besoins.
Vous pensez que c’est impossible ? Pourtant l’idée n’est pas nouvelle : souvenez-vous de la caisse en bois multi-jeux de nos grands-parents. Ils n’avaient pas les usines chinoises à l’époque et les pions étaient les même d’un jeu à l’autre.
Dans l’attente, je m’agace :
C’est dans cet état d’esprit que j’ai imaginé pour notre table tout une gamme d’accessoires qui puissent servir à la majorité des jeux. Compatibles, ils sortent des étagères en fonction des besoins.
Et les bouts de cartons en trop ? Hop ! Au fond de la boîte ! C’est ça de moins à ranger.
Sur notre table, on s’organnise : les cartes sont rangées toutes ensembles et c’est moi qui m’en occupe… Les pions sont tous réunis de l’autre côté de la table et c’est mon homme qui s’en occupe… Notre espace ainsi optimisé est bien plus clair et le plaisir de jeu n’en ai pas diminué.
J’aime mes accessoires. Plus encore, je me félicite de leur efficacité. Si j’avais une imprimante 3D, il est probable qu’ils seraient en plastique, mais je préfère le verre, le cuivre et l’étain. Ils ont l’avantage d’être entièrement recyclables.
La série d’accessoires « Fauve » !
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On en parle
Oui, je l’avoue sans peine, je ne suis pas du genre à suivre les mises en place proposées pas les auteurs. Faire un playmat juste pour poser des cartes m’échappe complètement.
Et comble de l’horreur, je ne supporte pas quand la piste de points tourne autour du plateau de jeu.
Suis-je seule ? Je gage que nombre d’entre-vous sont comme moi. Pas assez puriste ? C’est bien possible et je n’empêche personne de penser autrement.
Mais je suis certaine que nous pouvons nous retrouver sur quelques points :
• Notre table ultra-polyvalente est au milieu de notre cuisine/salle à manger/salon/atelier vitrail. Combien d’entre-nous ne disposent pas de toute la place rêvée ?
Une fois sur deux il n’est même pas possible de suivre la mise en place indiquées dans les règles. Alors ? Qu’est ce qu’on fait ? On se résigne ou on s’adapte ?
• Que de cartons inutiles !!!!
Pourquoi ? Pourquoi ? Mais POURQUOI rajouter des plaques toutes plus grandes les unes que les autres, qui ne sont destinées qu’à éparpiller tout autour du plateau principal des tas de cartes ou de trucs qui ne demandent qu’à se barrer à chaque manipulation des joueurs !
Alors oui, parfois ça s’la pète, mais est-ce vraiment utile lorsque ce n’est même pas conçu pour des cartes avec sleeves ou que lorsqu’une fois monté, la boîte du jeu ne ferme plus ?
• Certes, il y a parfois de bonnes idées d’éditeur !
Qu’est ce que cela fait du bien quand ça arrive… Mais qui d’entre-vous prennent la décision de retirer l’accessoire de son jeu d’origine pour l’utiliser avec d’autres jeux ? Personne. Pour peu que le jeu soit bof, le super accessoire bien pensé terminera sa vie avec le reste de la boîte… sur Okazéo.
• Le plus agaçant : une multitude de pions en carton, tellement petits qu’il faut s’armer de patience pour arriver à les chopper. Alors certes, ils sont personnalisés, mais avouez que vous aussi avez parfois succombé à la tentation de les remplacer par des petits cubes de couleurs, bien plus pratiques à manipuler.
Mon rêve : qu’un éditeur conçoive une boîte de base bien rangée et à prix correct avec des compteurs de points, des pions, des dés, etc… Cette boîte « générique » serait utilisable pour tous les jeux de l’éditeur et pourrait s’enrichir de nouveau jetons si besoins.
Vous pensez que c’est impossible ? Pourtant l’idée n’est pas nouvelle : souvenez-vous de la caisse en bois multi-jeux de nos grands-parents. Ils n’avaient pas les usines chinoises à l’époque et les pions étaient les même d’un jeu à l’autre.
Dans l’attente, je m’agace :
C’est dans cet état d’esprit que j’ai imaginé pour notre table tout une gamme d’accessoires qui puissent servir à la majorité des jeux. Compatibles, ils sortent des étagères en fonction des besoins.
Et les bouts de cartons en trop ? Hop ! Au fond de la boîte ! C’est ça de moins à ranger.
Sur notre table, on s’organnise : les cartes sont rangées toutes ensembles et c’est moi qui m’en occupe… Les pions sont tous réunis de l’autre côté de la table et c’est mon homme qui s’en occupe… Notre espace ainsi optimisé est bien plus clair et le plaisir de jeu n’en ai pas diminué.
J’aime mes accessoires. Plus encore, je me félicite de leur efficacité. Si j’avais une imprimante 3D, il est probable qu’ils seraient en plastique, mais je préfère le verre, le cuivre et l’étain. Ils ont l’avantage d’être entièrement recyclables.